Ce printemps, les sciences participatives en biodiversité ont été mises à l’épreuves par le confinement. Face à cette crise, de nombreux observatoires n’ont pu éviter la paralysie de leurs activités qui reprennent maintenant progressivement. Pour d’autres, cette situation exceptionnelle a permis de capter de nouveaux publics. Comme nous pouvions nous y attendre, les espaces de jardins et balcons ont ainsi été privilégiés par les observateurs. Les outils numériques ont aussi été largement sollicités pour faire vivre les sciences participatives. CREA Mont-Blanc, la LPO et Vigie-Nature ont enregistré une hausse de la participation sur certains observatoires, plus résiliants à la situation de crise, ce qui est un véritable atout pour leur pérennité.
Accéder à l’article du CREA Mont-Blanc sur le sujet pour en savoir plus.